Survie de l'âme et à vous de jouer
- Isabelle Sojfer

- 30 sept.
- 3 min de lecture
L'idée que l'âme survit au corps n'est pas nouvelle. On la retrouve dans toutes les traditions. Parmi les personnes qui font des comas, nombreuses sont celles à rapporter une expérience extraordinaire. Après le décès d'un proche, une personne sur deux constaterait des phénomènes étranges. Ces manifestations sont trop nombreuses pour être balayées d'un revers de main. Si vous admettez que la vie puisse continuer sur un autre plan après la mort, savoir que votre défunt(e) se trouve bien quelque part devrait être une pensée consolante.
Mais si nos chers disparus vivent dans une autre dimension, comment s'accommodent-ils de nous avoir quittés ? Il semble que nous leur manquions beaucoup moins qu'ils ne nous manquent. Non parce qu'ils sont indifférents, mais parce qu'ils peuvent être auprès de nous chaque fois qu'ils le désirent. Il leur suffit de penser à une personne ou à un lieu pour s'y trouver instantanément. Dans cette hypothèse, je dis beaucoup de choses agréables aux photos de mes défunts, pour leur donner envie de me rendre visite. Je me dis que, comme les vivants, ils préféreront entendre des douceurs plutôt qu'une plainte qui n'en finit pas. Bien sûr, il m'est déjà arrivé de les invoquer en pleurant, mais je précisais toujours, surtout à Maman qui s'inquiétait à tout propos : « Ne t'en fais pas, ça va aller quand même. » Il m'arrive de penser que Maman ne se reposera vraiment que quand je serai morte à mon tour, et qu'elle n'est peut-être pas près de goûter à la tranquillité parfaite car je pourrais bien rester ici-bas encore de nombreuses années !
Et vous, quelle est votre position concernant une vie possible après la mort ? Dites-le en commentaire.
Vous avez lu le livre ? Mettez un commentaire sur sa page, c'est important pour le référencement. Et l'ebook gratuit ? Si vous recevez cette lettre, c'est très probablement que vous l'avez téléchargé. Avez-vous fait les exercices ? Il ne suffit pas de les lire, il faut les faire. Je vous assure que quand on répète quelque chose pendant trois semaines, comme se dire bravo dans le miroir, ça fait une différence.
DEPUIS QUE TU ES AU CIEL est rempli de choses concrètes pour aller mieux, ou moins mal, quand on a perdu quelqu'un. C'est un livre, et un peu plus encore. Après avoir perdu les êtres qui m'étaient les plus chers, je me suis donné pour mission de partager ce qui m'avait aidée dans mes deuils. Le livre, le blog, tout ça représente un travail énorme. Le livre est très bien reçu, la page Facebook archi visitée, malheureusement, personne n'interagit. C'est un peu comme au lycée, quand le prof demande qui veut venir au tableau en premier. Alors je vous demande de bien vouloir passer outre votre timidité. J'ai besoin de vous pour faire vivre ce projet. Cliquez sur le cœur en bas de la page, commentez, posez des questions ! Sur ce blog, sur Facebook, partout. Abonnez-vous à la page Facebook si ce n'est pas déjà fait. Si vous connaissez d'autres personnes en deuil, envoyez-leur un lien pour qu'elles arrivent jusqu'ici.
Et que pensez-vous du rythme de cette lettre ? Trop, pas assez ? C'est fou le nombre de lettres desquelles je me suis désabonnée parce que je recevais trop de mails. Mais peut-être que sur cette thématique du deuil, vous aimeriez recevoir davantage de contenu ?
Êtes-vous l'aise avec les articles écrits, ou est-ce que vous aimeriez mieux des vidéos ?
Je vous écoute.
Merci d'avance pour votre implication.
DEPUIS QUE TU ES AU CIEL (le livre)




Commentaires